Bonjour ,
Dans mes dernières lettres, j'ai beaucoup évoqué la question du sens de la vie.
Cette question est essentielle pour une bonne santé physique et mentale, et apporte plus de bien-être, de bonheur et d'amour. Toutes ces dimensions sont étroitement liées et ne vont pas l'une sans l'autre.
La recherche en neurologie le démontre, car c'est dans le cerveau que tout cela se passe.
Or, les outils disponibles pour cela sont multiples et complémentaires. Ils sont également très simples d'accès et faciles à utiliser.
Cela commence par apprendre à bien utiliser la puissance de l'esprit. Je rappelle les quatre rôles qu'il est important d'avoir vis à vis de son esprit et
de son cerveau :
- un rôle de leader : en tant que leader, vous donnez des ordres à votre cerveau, en fonction de votre journée, de vos objectifs, de vos envies
- un rôle d'inventeur : dans cette recherche de la nouveauté, vous vous engagez ainsi dans la construction de nouvelles voies
dans votre cerveau, de nouvelles connexions cérébrales qui n'existaient pas hier.
- un rôle d'enseignant : vous entraînez votre cerveau à acquérir de nouvelles compétences.
- un rôle d'utilisateur : vous avez la responsabilité de conserver votre cerveau en bon état de marche.
Cela implique d'avoir un esprit curieux, à la recherche de nouvelles possibilités.
Voilà une attitude de base, pour laquelle je vous propose des outils comme la Fleur de Vie, dont je vais vous parler un peu plus loin.
Ghislaine Bourgogne (une thérapeute qui exerce sur Lyon) indique : "le seul obstacle à notre bonheur est cette saisie constante que nous opérons pour nous réapproprier nos sensations, nos pensées et nos émotions, comme si cela c'était nous."
Il faut cesser de tenter de contrôler tout cela, comme si les sensations, les pensées et les émotions étaient ce qui nous apporte du danger. Certes, ces sensations, ces pensées et ces émotions vont peut-être traduire des douleurs, des souvenirs désagréables...
C'est tout à fait normal, naturel et sain. Stéphane Alix le formule ainsi, à propos de sa maladie auto-immune qui lui a fait développer un problème inflammatoire : "le corps hurle son mal-être jusqu'à ce qu'il le somatise. Si on s'intéresse au
physique sans s'intéresser à sa source en nous, il reviendra."
Voilà pourquoi j'aborde ma démarche de thérapeute de cette manière globale. Les maladies
et les douleurs physiques sont reliées aux stress vécus, aux histoires désagréables (voire pire) du passé. Ce mal-être est transmis à l'attention par des sensations physiques, par des pensées, et par des émotions.
La question du sens de la vie va orienter la pensée vers une dimension spirituelle, de bonheur et d'amour. Les énergies qui y sont associées sont particulièrement positives. L'amour porté en soi donne au corps et à l'esprit la capacité de se reposer, de s'auto-guérir. Il n'y a pas plus haute vibration énergétique que celle de l'amour. Louise Hay parle de la puissance guérissante de l'amour.
Stéphane Alix l'exprime ainsi :
"Vous pouvez méditer toute votre vie, mais si vous ne vous occupez pas de faire un peu de psychothérapie pour nettoyer votre intérieur, [même] après 30 ans de méditation [si] vous vivez un petit drame, tout peut s’écrouler. A l’inverse, vous pouvez aussi prendre soin de vous et faire une psychanalyse très très longue, si vous oubliez cette connexion avec le spirituel à un moment il va y avoir aussi quelque chose qui va buter. Il faut tenir compte de ces deux
composantes qui nous constituent.
Méditer n’est pas vivre des expériences abstraites. C'est se confronter à notre existence, [pour] que ce soit l’occasion de
traverser nos difficultés et de les transformer. Méditer [est perçu] maintenant [comme] surtout se calmer, mais je défends aussi une méditation qui permet de garder le rapport à l’amour le plus ultime, et aussi de nous aider concrètement dans toutes les difficultés de la vie pour les regarder avec douceur, courage et pour les transformer."